14 novembre 2012
bonjour... bonjour! je suis la désillusion le
bonjour...
bonjour!
je suis la désillusion
le strike
Je m'impose avec l'aridité d'une logique extrême. Ca déchire !
Je suis la douleur nécéssaire
celle de la solitude
qui vous rend vrai. Et vos visages allumés se fardent de craie, à mon approche.
Cruelle à juste titre, vous compterez les pertes, de la totalité du jeu.
et mon service
vous
rendra : l'ensemble de l'être que vous avez renié sur le parvis.
l'essence ! affreusement vôtre.
et l'homme dévasté par mon passage
fait
jaillir la vie : par tous les pores
par tous les tubes de cuivre et d'ivoire et sur toute la surface inhabitable
de la terre.
dans la nuit, mon chant est un rossignol qui dégénére en torture lanscinante.
Allez. Au revoir ...
Au revoir ! à toi le flambeau.
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