nous ne disposerons plus de nous. A bon, à mauvais escient? ce n'est plus la question.
Une allure tout d'abord :
Si la terre a des jambes, alors le secret est physique
et le chef dressé je veux te voir germer,
toi l'ouverture,
Con et fleurs sans magazine.
(Le théâtre hanté de l'esprit m'éloigne de toi.)
La hantise est une manière d'émancipation,
une fois transcandée
Alors
Discret, large comme une pupille, des allures de rituels sous la cape, sous le masque, sous le slip
en se coupant la langue, on largue les amarres,
c'est de verité dont je parle.
D'original !
De soleil sur l'oranger !
Rejoins moi :
A l'esplanade
se résume d'un trait l'heritage des cellues divisées (courrier de météorites)
Puis
une piscine à débordement, lisse dans sa quiètude,
affranchit
la veille
des gardes côtes.
Et d'un souffle
la tête s'épanche sous la cataracte !
Rejoins moi !
Sur l'esplanade
les langues claquent sur le pavé.
L'individu sirote sa guillotine, en terrasse, sous une pluie de confetti _ c'était trop tentant le
"pas question!"
Les troncs ont hérissé la terre, tout comme les hommes, les remparts ou les crêtes
mais sous leurs présences
ma main fonce droit sur l'aura,
faisant cracher l'érosion détrempée de la mort.
Une craquelure, des flammes dansent encore, en filigrane, sur l'horizon
l'oeil
athlète
accompli l'arc de cercle nècessaire à la vision du déclin.
Oh! vrai ! le mouvement est cruel à vos faces figées.
_Chanson !